Accueil du Château de Versailles

Bienvenue à Versailles, loyaux sujets français !

Je suis votre Reine Favorite... ; Marie-Antoinette!

Versailles est le coeur du royaume, c'est ici que réside le roi et sa grande cour, dont le privilège d'en être, nous est enviée à travers l'Europe! Seul la cité de Vienne peut rivaliser. Mon frère est d'ailleurs le Roi d'Autriche!

Le château est la demeure du Roy et accueille les courtisans. La cour est ouvert à tous les Aristocrates et aux Prélats bien entendu. Vous pouvez venir participer aux magnifiques fêtes que j'organise à l'occasion ! Exceptionnellement pour les États Généraux, je tolérerai que les "autres" ordres et que les vilaines gens puisse jeter un oeil sur nos charmantes et nobles activités , et aussi de se présenter devant les princes ou demander une audiance à un Grand Seigneur ou au Roi... Mais il faut être patient! C'est la règle ici!

Nous ne vivons pas à la vitesse des "vilaines gens" ici. Pour briller à la cour, il faut prendre le temps de se faire connaître et se faire remarquer. Il faut avoir une attitude remarquable selon les règles de l'étiquette et de la noblesse et éviter les mauvaises fréquentions! Pour avoir du succès il faut savoir graviter habituellement dans l'orbitre d'un puissant protecteur.


Je ne vous recommenderai certes pas cet excité de Duc d'Orléans qui fréquente les masses populaires et puis intrigue sans cesse contre Sa Majesté! Voyez les lieux de perdition si vous souhaitez entendre ses vantardises et fanfaronnades...

Le frère du Roy, le Comte d'Artois est un homme bien plus distingué, sérieux et courageux, il tient aussi un charmant hôtel à Paris ou vous pouvez le rencontrer, cela est bien sûr seulement réservé aux tout aux nobles députés de l'Ordre Aristocratique.

D'une autre part, mes propres appartements sont ouverts pour toutes les jeunes épées ambitieuses désireuse de se mettre à mon service pour l'honneur, la noblesse et la bravoure. Ils sont aussi pour toutes les jeunes Dames de la Cour désireuse de briller, séduire et d'éviter "les méchantes gens" qui ne sont certes pas des fréquentations correct pour une jeune fille distinguée. En plus ils sont si peu amusant. La cour est un lieu enchanteur et merveilleux! Et avec le courage des princes nous veillerons à ce que chacun garde sa place dans le Royaume.

Je recherche des Gouvernantes, des Dames d'Honneur et des Dames de Compagnie pour ma suite. Venez immédiatement me voir si vous exprimez le souhait d'en faire partie.

Mon Époux, le Roi tient également les Conseils du Royaume dans des quartiers réserves pour ces Monsieurs. Ceux-ci sont évidemment bien privé, et seul quelques rares privilégiés ont ainsi accès aux affaires de la France. Mais le Roy est toujours à la recherche d'hommes intéressés et talentueux qui désiraient l'aider au maintient du bon ordre dans le Royaume. Pour cela il vaut mieux vous adresser au Garde des Sceaux; Barantin. Il tient un petit bureau au château. Monsieur de Necker cherche aussi l'appui de députés dégourdis...enfin... j'espère que mon époux se débarassera de lui bientôt!

Pierre André de FAUCON se présente à l'accueil du chateau de Versailles. Il attend que quelqu'un veuille bien l'accueillir.
Lorsque c'est fait, il se présente :

- Bonjour. Je suis le Comte de Mortigliengo, Pierre André de FAUCON. J'ai ici une convocation de Monsieur le Ministre Necker à mon attention.
(montre la convocation)

Un écuyer répond à Pierre André de Faucon :

Monsieur de Necker se promène actuellement dans la cours des ministres près de la place d'armes (voir sujet correspondant dans le forum Château de Versailles). Il vous attend.

Versailles est un ensemble d'hôtels, de châteaux, de galeries, de cours et de jardins. Il est donc très facile pour un nouveau venu de se perdre dans ce dédale.

Pierre André de FAUCON :

- Et si je me montre généreux, jeune écuyer, me mènerez-vous jusqu'à Monsieur Necker par le chemin le plus court ?

Le jeune écuyer répondit :

C'est mon devoir, monsieur le comte. Je suis à votre service. suivez-moi. Je vais vous conduire sans délai auprès de monsieur Necker.

http://revolutionf.allianceogame.com/chateau-de-versailles-f5/cour-des-ministres-pres-de-la-place-d-armes-t129.htm#283

[i]Ravi de retrouver le château de Versailles où il a passé plusieurs années en qualité de page, le député de Gantès pénètre dans la cour d'honneur du château et décide de flâner aux abords à la recherche de ses vieux souvenirs et en espérant revoir un visage connu

Une petite troupe de femmes et d'hommes entre alors dans le chatêau un peu après Monsieur de Gantès. La Reine, Marie-Antoinette et quelqu'uns de ses amis sont permis eux. Ils semblent revenir d'un pique-nique. Le groupe est bien souriant et d'humeur légère.

Mme de Polignac la grande favorite de la Reine, remarque alors le nouveau venu, et lance à la Reine:

-Altesse il semble que vous allez me devoir quelques deniers,avec la permission de madame, je gagne notre pari, finalement ces messieurs convoqués par Sa Majesté semble enfin arrivé à Versailles, vous voyez bien qu'il y a plus de...courage en les Sujets de Vos Majestés que les mauvaises langues l'affirment!

-Madame de Polignac comme vous êtes bien malicieuse mon enfant, mais je serai ravie de prendre quelque écu dans la bourse de Louis, si ce gredin de Necker ne s'y mêle pas... pour conserver votre langue franche et si intelligente! Mes orreilles sont conquise. Mais vous allez choqué Monsieur. (Elle désigne Ignace de Gantès), aller vous présentez à ce gentilhomme et lui offrir vos politesse madame, puis saluer le en mon nom... je me sens accueillante ce matin.

Mme de Polignac hoche la tête et s'exécute, elle s'approche courtoisement de M. de Gantès et effectue une charmance révérance pour se présenter et saluer l'homme.

-Bienvenue à Versaille Monsieur, son Altesse Gracieuse m'a demandée de vous saluez, pourrais-je savoir votre nom Monsieur?

Ignace de Gantès s'incline pour saluer la comtesse de Polignac

Bonjour comtesse,
Je vois à votre visage que vous ne me reconnaissez pas, il est vrai que vous m'avez connu alors que j'avais 10 ans, mais je me souviens parfaitement de vous et de votre beauté.

Ignace de Gantès, vicomte d'Ablainzevelle, sous-lieutenant du Royal Normandie Cavalerie, pour vous servir

Il refait une révérence

J'ai été page du roi de 1774 à 1780 dans ce même château de Versailles. J'ai ensuite quitté la cour pour gagner mes terres et mon régiment dès l'âge de 16 ans.
J'apprécie de pouvoir revoir les jardins de Versailles qui sont toujours aussi agréables !

Je ne peux vous reprocher de ne pas m'avoir reconnu puisque le temps a fait son oeuvre et j'ai heureusement changé. Par contre, je constate que le temps n'agit pas de la même façon sur vous car il semble sans pouvoir dégrader votre beauté !

Je n'ai que peu de délices exotiques à vous fournir. Depuis mon départ de la cour, je partage mon temps entre la vie de garnison et la vie dans mes propriétés artésiennes. Tout cela m'éloigne loin, bien loin de la cour et de ses attraits ! Mais la Cour fait beaucoup de bruit en province ! De nombreux pamphlets circulent dans ma province, et il doit en être de même dans les autres, qui accusent la Reine de tous les abus ! Mais ces mensonges ont une influence certaine sur l'opinion publique !

J'ai rencontré le duc d'Orléans, il est vrai, au club Breton. Mais je vous assure qu'il n'a tenu aucuns propos désobligeants envers la Reine ni le Roi. Je vous garantis que je n'aurai pu accepter d'entendre de tels propos à l'encontre du Père de la Nation !

je suis ici en tant que représentant du Tiers Etat d'Artois. Cela peut vous étonner mais la noblesse d'Artois m'a refusé la députation. J'ai entendu dire que plusieurs nobles sont, eux aussi, élus parmi le Tiers Etat. Je suis ici pour servir le Roi, comme l'exige ma noblesse ! Mais rassurez Sa Majesté, je ne pourrai accepter qu'on lui manque de respect.

Visiblement ému par le geste de Madame de Polignac

Effectivement Madame, la Cour recèle de nombreuses beautés et jouissances qui sont bien rares en province !

Mettant consacrer entièrement à ma vie militaire et à la vie politique de ma province, je ne me suis pas encore donner le temps nécessaire de trouver une épouse. C'est donc seul que je viens à Versailles.

Mais je ne suis pas ici pour penser à ma vie sentimentale mais pour aider Notre Roi à sortir le royaume de la situation difficile dans laquelle il se trouve. Le fait d'être élu par le Tiers Etat est pour moi un honneur car j'ai été refusé par des tenants de l'immobilisme, des ennemis des idées modernes et, je le pense, des faux amis de Notre Roi et de Notre Reine.
En tant que député du Tiers Etat d'Artois, je suis porteur d'un message d'amour et de reconnaissance envers le Roi.

Certains députés du Tiers Etat chahutent la Reine, mais ils ne sont pas la majorité et lors de l'ouverture des Etats Généraux, je suis sûr que la Reine se rendra compte de l'amour que lui porte la Nation.

Je vous remercie de vous soucier de ma personne, mais je pense être de mauvaise compagnie dans les temps à venir, pris entre les sessions des Etats généraux, les discussions avec les députés et le travail de préparation nécessaire. Je serai d'un ennui mortel à cotoyer, croyez moi.

Je me permets de vous donner tort, cependant, sur un point. Vous n'êtes pas une pauvre femme et vous avez trop de connaissances et de relations pour ne pas aider et soutenir Sa Majesté. Croyez moi, conseillez la Reine. Elle ne doit pas voir dans le peuple des ennemis, quelques mauvais grains se sont mélangés aux bons mais ils sont peu nombreux. Les députés du Tiers Etat seront de véritables soutiens si elle continue à leur donner toute l'attention et la confiance qu'ils méritent.

Dieu seul connaît les prochains événements, mais il importe de ne rien faire pour attiser les passions.
LE Tiers Etat a besoin du Roi comme le Roi a besoin du Tiers Etat, je garde cette idée en tête pour mes prochains travaux.

Comme dit l'adage, madame, il n'est de bonne compagnie qui se quitte, je vais devoir vous faire mes hommages. Je vous remercie de votre attention pour moi et vous prie de faire part à Sa Majesté la Reine de mon attachement à sa personne ainsi qu'à celle du Roi.

Aimant me promener dans ce magnifique jardin, j'espère pouvoir vous y rencontrer une prochaine fois.